Grâce à une surveillance innovante et à des prélocalisateurs de fuites, Nantes Métropole économise des milliers de mètres cubes d’eau chaque année et atteint un taux de rendement de 91,6%, bien au-dessus de la moyenne nationale de 81,5%.
Paroles de Jérôme FLOCH, Product Manager chez Lacroix
Episode n°4 du Podcast Paroles par Monreseaudeau.fr – Jérôme FLOCH
Bienvenue dans Paroles par Monreseaudeau.fr, le podcast qui plonge dans le monde fascinant de l’eau.
Je suis Arnaud HETEAU et dans chaque épisode, nous explorons les histoires inspirantes de professionnels passionnés qui consacrent leur métier à l’eau.
Dans ce podcast, nous vous emmenons à la rencontre de ces visionnaires, ingénieurs, entrepreneurs et experts pour découvrir leur motivation, leur parcours et ce qui les anime dans cet univers.
Nous plongerons au cœur de leur entreprise, explorant les produits et services novateurs qui façonnent notre relation avec cette ressource vitale, préparez-vous à être inspiré, informé et saisi par ces récits captivants qui nous rappellent à quel point l’eau est au centre de nos vies et de notre avenir.
Accrochez-vous car une aventure enrichissante débute maintenant.
Bienvenue dans Paroles par Monreseaudeau.fr.
Comment es-tu arrivé à être Product Manager chez Lacroix. Quel est ton parcours ?
Alors j’ai commencé un petit peu par hasard chez Lacroix, puisqu’initialement je suis ingénieur en télécommunication et réseau.
Donc j’ai travaillé plus de 10 ans dans ce domaine-là pour proposer des solutions de supervision pour les opérateurs mobiles.
Qui leur permettait de monitorer en temps réel la qualité de service de leurs antennes 2G, 3G, 4G.
Et puis j’ai eu l’opportunité de rejoindre Lacroix, notamment l’activité environnement via Sofrel en tant que Product manager.
Finalement, pour proposer le même type d’application de supervision, de gestion de la donnée, mais non pas pour des opérateurs mobiles mais pour des exploitants d’eau et d’énergie.
Donc je dirais que, c’est une vraie continuité dans mon parcours puisque ce que je faisais aujourd’hui, je le propose pour les exploitants, les intégrateurs du monde de l’eau.
Et le fait d’être ingénieur Télécom, ça t’a apporté quoi pour tes jobs ?
Alors c’est très important, c’est qu’aujourd’hui on voit bien qu’on est dans un monde qui bouge très vite et notamment le monde de l’eau aujourd’hui, qui s’inscrit vraiment dans une image de tout typé, de virtualisation, d’intelligence artificielle et le fait d’avoir cette compétence, cette formation poussée en électronique, en Télécom et réseau. Et bien ça permet d’apporter mon expertise à la Lacroix Sofrel, notamment aux équipes de recherche et développement.
Pour proposer des solutions qui ont la bonne maturité technologique, adaptées au monde de l’eau et à ses exploitants.
Alors juste un point technique pour ceux qui nous écoutent, le tout typé, est ce que tu peux nous préciser ce que c’est exactement ?
Bien sûr. Alors le tout typé, c’est la faculté d’un équipement de télégestion ou d’un capteur de pouvoir transmettre ces données vers une supervision via des réseaux mobiles comme la 2G, la 3G, la 4G ou bien via des câbles Ethernet.
Historiquement, nos réseaux étaient opérés via des supports de communication analogiques puisque l’opérateur historique France Télécom proposait plutôt de la location de lignes fixes téléphoniques pour permettre à un poste local de transmettre ses données vers une supervision avec des débits très très faibles.
Donc tout ce monde-là est maintenant révolu, puisque l’analogique est une technologie condamnée par les opérateurs et que tous les réseaux convergent un maximum, notamment vers la 4G.
Alors IP, c’est internet Protocol ?
Exactement, c’est un grand standard mondial utilisé par tous les opérateurs mobiles et tous les constructeurs pour permettre à tous les équipements d’avoir un seul et même langage de communication entre eux.
Et le réseau qui disparaît, c’est le réseau RTC, c’est les fameux câbles en cuivre que l’on voit dans les rues ?
Exactement, c’est condamné et c’est pour ça qu’on voit tous les travaux sur la fibre optique ou réseau Ethernet ou bien aussi déploiement massif des antennes 4G, même en campagne.
Et la 5G, tu crois que ça va prendre le pas sur tous les autres réseaux ?
C’est la théorie, c’est un standard qui est définit déjà depuis de nombreuses années.
Ça prend du temps puisque finalement les opérateurs mobiles se rendent compte que le business model de la 5G n’est pas encore prêt pour être justement adopté par les utilisateurs comme toi et moi, c’est à dire depuis ton smartphone ou même pour les industriels.
Parce que le standard n’est pas encore assez mature pour les industriels.
Typiquement nous chez Lacroix Sofrel, intégrer un modem 5G dans du S4W, ce n’est pas encore possible parce que tous les fournisseurs de modem ne sont pas capables de nous donner les bons chipset adaptés à nos cas d’usage.
Donc la 5G, ce n’est que le début ça va encore prendre beaucoup de temps, beaucoup d’années.
Mais la 2G ? La 3G disparaissent aussi ?
Tout à fait. Là, il y a un planning très clair qui a été communiqué par les 4 opérateurs mobiles français, Orange, Bouygues, SFR et Free dans lequel nous on s’inscrit pleinement aussi en termes de roadmap produit.
C’est pour ça qu’on prévoit déjà les futures versions de postes locaux ou de data logeur qui vont s’approprier les bons supports de communication dans 3, 4 ou 5 ans.
Et c’est vrai que c’est pour ça que d’ici 5/6 ans, probablement que la technologie dominante sera la 4G accompagnée par la 5G.
J’aimerais que tu nous présentes un peu Lacroix et le groupe Lacroix ?
Lacroix est une E.T.I familiale. C’est un groupe familial à la base puisque c’est la 3e génération qui manage le groupe.
3 activités principales chez Lacroix, la première et la plus grande je dirais, c’est la production et la conception de cartes électroniques pour tout cœur de métier : le grand public, l’aéronautique, la défense, la cybersécurité…C’est une activité qui à peu près regroupe 3000 personnes dans le monde avec 5 grosses usines de production en France, bien sûr, en Pologne, en Allemagne, en Tunisie et aux États-Unis.
La 2e activité est le pôle Smart City via Lacroix City. Ce sont nos solutions connectées pour rendre intelligente la ville sur des gestions intelligentes, des feux de signalisation, des gestions des lumières et des panneaux et carrefours.
Le grand public peut voir derrière le panneau STOP le petit logo Lacroix, c’est vous ça ?
Exactement, et ça aussi, on le commercialise aux 4 coins du monde. Et puis la dernière activité à laquelle j’appartiens, c’est l’activité Environnement, qui intègre justement la marque Sofrel pour les postes locaux S500 S4 et les datalogeurs DL4W.
Et donc moi, j’appartiens à cette équipe-là qui développe les solutions connectées pour les réseaux d’eau intelligents, la partie Smart Grise…
Et là, vous avez inauguré il n’y a pas très longtemps une usine, une nouvelle usine. L’usine qui utilise beaucoup la 5G ?
Alors oui, aussi la 4G et la 5G. Tout à fait. C’est une usine réfléchie en partenariat avec Orange et Schneider Electric également, c’est ce qu’on appelle usine 4.0.
C’est à dire que là tous les process et les lignes de production sont pensés pour vraiment avoir un maximum d’automatisation et d’intelligence. Ce qui rend l’efficacité de l’usine, vraiment très très importante et cybersécurisée.
Et aujourd’hui Lacroix Sofrel a la chance justement de pouvoir s’appuyer sur cette usine Symbiose pour produire tous ses équipements en France, à côté de chez nous à Vern-Sur-Seiche.
Donc cette usine-là elle est à Saint-Pierre-Montlimart, et Lacroix Sofrel est basé à Vern-Sur-Seiche. Vous bénéficiez de ces technologies. On va maintenant rentrer dans le cœur de l’eau : postes locaux, postes de télégestion… En 2 mots, comment résumes-tu les 50 ans d’existence de Sofrel ?
Je dirais que Sofrel a créé un produit qui n’existait pas, c’est à dire que les grands acteurs du marché de l’automatisme avaient des produits très très puissants, mais où tout était programmable et pas forcément accessible pour les opérateurs de réseau.
Lacroix Sofrel à créer un poste un peu hybride, c’est à dire très puissant mais aussi très simple de configuration et d’exploitation permettant de s’approprier les forces de l’automatisme pour piloter efficacement les stations de pompage, les postes de relèvement, les châteaux d’eau…
Vous êtes les précurseurs dans l’eau, pour aider les gestionnaires, les exploitants des réseaux d’eau à comprendre ce qui se passe dans les châteaux d’eau et dans les postes isolés, à mieux piloter leurs exploitations…Alors là c’est le rôle de Product Manager. Il y a plusieurs versions qui sont sorties. Vous avez eu combien de gammes là jusqu’à présent ?
Je dirais qu’il y a eu 4 gammes majeures. Il y a le S10, le S50, le S500 qui déjà proposait par rapport au S50 de pouvoir communiquer sur de l’IP avec un mix analogique.
Et puis le dernier de la famille qui est le S4W sorti il y a déjà 5/6 ans, qui lui supporte exclusivement les protocoles IP et surtout qui intègre nativement le nouvel enjeu du moment, la cybersécurité.
Nous sommes allées voir Eaux de Viennes qui utilise ces produits qui justement, a appuyé sur cette importance de la sécurisation des postes locaux. Parce que par la contrainte, ils sont obligés de passer par l’IP puisque les réseaux communautés disparaissent.
Donc il y a des vrais choix à faire et la solution que vous apportez permet un déploiement en toute sécurité des postes locaux.
Mais vous avez aussi des Datas Loggers. Est-ce que tu peux nous dire sur les Datas Loggers ?
Un data logger, c’est une gamme de produits qui permet à un exploitant de monitorer son réseau d’eau potable ou d’assainissement sur des sites où il n’y a pas d’énergie et ce qu’il faut bien avoir en tête, c’est qu’un data logger est toujours installé dans un site isolé sous une plaque de fonte.
On a réussi à développer une belle gamme de produits LSLT qui est devenue DL4W qui permet vraiment à l’exploitant d’installer rapidement son produit in situ, ensuite de le laisser vivre 7, 8, 10 ans dans son réseau sans venir y faire une maintenance ou un remplacement de pile.
Pour synthétiser, il y a les postes locaux, dans des armoires connectées en permanence, alimentés électriquement dans des bâtiments ou même dans des armoires à l’extérieur
Et puis dans les endroits isolés, dans les regards et autres, là ce sont les datas loggers.
Exactement, les datas loggers qui sont autonomes en énergie, qui peuvent alimenter les capteurs de pression de niveau physico-chimique qui lui sont connectés, s’interfacer avec du compteur ou du débitmètre pour suivre la sectorisation.
Et qui transmet une à plusieurs fois par jour ses données vers la supervision de l’exploitant pour pouvoir pour gérer ça à distance.
Donc vous votre rôle finalement, c’est de convoyer la donnée ?
On a un petit peu les experts télécoms finalement des réseaux d’eau.
Parce que nous à la base, c’est de fournir des produits connectés aux exploitants d’eau pour qu’ils puissent tous superviser, piloter à distance.
Et là donc, on vient de parler que de produits. Mais je crois que vous vous lancez quelque chose de nouveau, ce n’est pas du produit, c’est plus du service, et ça tourne autour de la donnée. Qu’est-ce que tu peux nous dire ?
En effet, on a une attente des collectivités, des métropoles et des tous types d’exploitants justement que Lacroix Sofrel puisse aussi les accompagner sur l’ensemble de la chaîne de la valeur et donc en effet, on lance cette année l’offre Flowrizon qui va proposer 3 volets d’application.
La première application est la plateforme LX Connect qui est une plateforme de gestion d’équipements de télégestion. Typiquement, on voit que les exploitants installent de plus en plus de postes locaux de data logger.
Mais ça n’est pas leur métier premier d’administrer ces produits-là, de gérer les versions, de gérer les patchs, etc.
Donc nous, on a proposé une plateforme qui va leur permettre de gérer beaucoup plus simplement les mises à jour de produits en masse et aussi de gérer automatiquement toute la cybersécurité des produits.
Demain avec LXConnect, un exploitant va pouvoir se concentrer sur son premier métier, c’est à dire opérer son réseau d’eau.
Le deuxième volet, la partie supervision, on propose une œuvre de supervision PC Win2 depuis déjà plus de 10 ans qui permettait à un exploitant de mettre en place un mini Scada et opérer des produits de gestion Sofrel (S500, S4, data logger Sofrel…) et là on prend un nouveau positionnement, c’est à dire qu’on va proposer une offre de supervision LX Scada, ouverte, interopérable donc qui va bien sûr porter tous les produits Sofrel que je viens de citer mais qui va aussi permettre à l’exploitant ou à l’intégrateur de travailler de l’ouverture pour connecter des produits de marque concurrentes.
Tu ouvres complètement le champ des possibles !
Il y a une vraie liberté, on ouvre l’écosystème Lacroix pour tout type de produit et c’était une vraie attente de nos clients.
On offre une application ouverte, qu’on a réfléchi en partenariat avec la société Iconics. C’est une offre qu’on pense depuis 3 ans qui est développée depuis plus de deux ans.
Elle arrive au bon moment pour nous, puisqu’on est capable de proposer une offre très très interopérable et full web.
Ça c’est important. Qu’est-ce que le full web ?
Ça veut dire qu’avec LXScada, l’utilisateur, il peut se connecter au portail de configuration ou d’exploitation des données depuis un simple web browser, d’un navigateur internet, de son smartphone, son PC.
Il y a plus besoin d’installer quoi que ce soit sur mon PC, tu peux tout opérer et exploiter à distance de manière sécurisée.
Alors tu m’as parlé de 3 volets. On a parlé de LX Connect, LX Scada. Et le troisième volet alors ?
Ah ça c’est la cerise sur le gâteau, j’ai envie de dire !
C’est la partie analyse de données donc qui vient se mettre par-dessus la supervision.
Donc ça c’est l’offre AQUAWIZE qui est une offre d’analyse de données qui va permettre à l’exploitant de bien maîtriser la performance de son réseau d’eau potable et de pouvoir détecter immédiatement les compteurs ou les secteurs qui sont en sous performance, au niveau des volumes consommés…
Donc l’intérêt de l’offre AQUAWIZE par rapport à une supervision c’est que, une supervision, ça permet à exploitant d’opérer son réseau en temps réel. Quelles sont les alarmes qui apparaissent ? Qu’est-ce que je dois faire sur ma pompe pour qu’elle redémarre, et cetera, et cetera, et comment je gère mes astreintes.
La partie analyse de données, c’est plus prendre du recul sur la donnée et cette offre permet bien sûr d’analyser mais aussi d’agréger des donneurs de compteurs abonnés pour fournir des tableaux de bord qui donnent une vision 360 du réseau d’eau potable à l’exploitant.
On est sur de l’intelligence artificielle ou pas ?
On est sur l’intelligence artificielle, mais au service de l’exploitant, c’est à dire que l’intelligence artificielle que nous proposons permet de détecter les compteurs pour lequel il y a une déviance de consommation ou de variation débit.
Ensuite, c’est l’exploitant qui va analyser ces résultats et les valider et les taguer.
C’est-à-dire que si j’ai un compteur qui dévie, l’exploitant, il va comprendre, est-ce que ça vient d’une vraie fuite ? Est-ce que ça vient d’un volume de service prévu par les pompiers pendant la nuit ? Est-ce que c’est parce que j’ai un de mes clients qui a une usine de papier qui a surconsommé ? Est-ce que c’est parce que j’ai une vanne qui est cassée, et cetera…
Et en fonction de son expertise, il va taguer l’analyse dans AQUAWIZE. Ce qui va permettre ensuite d’améliorer son propre modèle de données.
Donc, on n’est pas sur l’IA qui remplace l’expertise de l’exploitant mais qui accompagne, qui l’aide et qui priorise beaucoup mieux son travail au quotidien, c’est à dire que par défaut, plutôt que d’analyser mes 72 compteurs de sectorisation tous les matins dans mon Scada.
Et bien là, AQUAWIZE va nous sentir le top 10 de mes compteurs qui fonctionnent le moins bien et je vais prioriser mon investigation de la journée sur ces 10 compteurs-là, c’est une autre façon de travailler.
Ouais, tout à fait. Alors est-ce que c’est aussi une autre façon de vendre vos solutions et produits ? Est-ce que vous changez de modèle économique aujourd’hui ?
En effet, sur les 3 offres de produits, on va continuer à proposer ces offres de produits en mode licence pour que les exploitants puissent les acheter et les déployer eux-mêmes dans leur infrastructure.
Mais on a aussi cette volonté d’aller définitivement vers le service, c’est à dire de permettre aux exploitants de s’appuyer complètement sur Lacroix pour qu’on héberge pour eux la plateforme LX Connect, leur supervision ou leur application AQUAWIZE pour que, in fine, l’exploitant se concentre sur son métier principal, analyser ses données et opérer ses réseaux et pas forcément manager des solutions logicielles, les mettre à jour régulièrement, et cetera, et cetera.
Donc ça c’est clairement aussi une stratégique de Lacroix, notamment Lacroix SofreL, c’est de proposer des services managés pour les exploitants et les intégrateurs.
Et ça s’accompagne comment sur le terrain, les interlocuteurs de vos clients changent ou c’est toujours les mêmes ?
Absolument pas, les interlocuteurs restent les mêmes, c’est à dire qu’on a des responsables commerciaux sur chaque zone géographique en France. Je crois qu’il y a à peu près 10 commerciaux qui couvrent la France.
On a aussi beaucoup d’avant-ventes et de supports techniques qui assurent ce lien avec les exploitants, les intégrateurs, les installateurs.
Donc pour tout exploitant/intégrateur qui est intéressé aussi par ces offres de ces services, leurs contacts restent les mêmes.
Je dirais que c’est plutôt une mutation en interne chez Lacroix puisque nous avons créé une équipe dédiée aux services.
Un petit mot de la fin, le nom du produit FLOWRIZON, c’est la contraction du mot « flux » c’est ça ? et du mot « horizon » ?
La vision à long terme, l’horizon. Et j’ai envie de dire, c’est anticiper autant que possible tout ce qui va être devant nous, et c’est ça notre mission chez Lacroix, c’est vraiment de concevoir des solutions connectées, intelligentes, simples, mais qui va permettre à l’exploitant de reposer sur des choses fiables et pérennes dans le temps.
C’est ce qu’on essaie de faire au mieux avec notre modestie, notre humilité, tout ce qu’on sait bien faire. Mais au service de tous ces acteurs de l’eau.
En tout cas, merci d’être venu et de nous avoir partagé non seulement ton parcours, mais aussi cette vue du marché et de l’évolution de ce marché.
Un grand merci à nos invités d’aujourd’hui d’avoir partagé leur expertise et leur passion avec nous.
C’est la fin de cet épisode de Paroles par Monreseaudeau.fr.
Nous espérons que cette plongée au cœur du monde de l’eau vous a inspiré et vous a permis de découvrir de nouvelles perspectives.
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LX CONNECT : la plateforme de centralisation IIoT pour une cybersécurité automatisée
Acteurs cités dans cet article
LACROIX
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